Un lieu fait d'harmonie
Sur la colline de la Garde qui culmine à 154 mètres, la basilique, assise sur un ancien fort comme le château d’If, embrasse une vue à 360 degrés sur la ville, les iles et le large. Que l’on quitte Marseille où qu’on y arrive par la mer ou les terres, elle est là qui capte notre regard. Elle a pris dans le cœur des habitants qui l’ont baptisé « la Bonne Mère », une place de choix. Construite en 1853, Notre-Dame-de-la-Garde dès sa consécration en 1864 stimule la construction de nombreux autres édifices du centre-ville, comme la préfecture, le Palais de Justice et celui de la Bourse. Les traces de son histoire sont présentes au travers de son architecture. La ligne haussmannienne du 19e siècle a beaucoup séduit les bourgeois qui y retrouvaient l’élégance des quartiers parisiens. Le sixième arrondissement a été un des premiers à vouloir harmoniser l’esprit du lieu avec la qualité de son bâtit.
Le mot de l'architecte
Inséré dans le tissu historique remarquable marseillais, au cœur du 6ème arrondissement, la résidence Héritage est l’un des rares projets d’habitat contemporain développés aujourd’hui en hypercentre de Marseille. S’inspirant de l’identité architecturale locale, les bâtiments affichent une lecture contemporaine traduit dans des volumétries et matérialités épurées, des teintes claires et lumineuses ponctuées par le bois des éléments menuisés. Le projet associe des logements traversants, favorisant le confort des futurs habitants, à des maisons de ville dotées de jardins à rez-de-chaussée, pièces urbaines rares en centre-ville. Le jardin central permettant de rafraîchir le cœur d’îlot, est une présence végétale destinée aux futurs habitants mais également donnée à voir depuis les avoisinants. Balcons et terrasses plein-ciel se déclinent sur tous les niveaux avec une attention particulière portée à leur orientation et leur intimité. Enfin, les tuiles traditionnelles contribuent à une insertion réussie dans le « paysage des toits marseillais.
Dans la tradition urbaine d'un quartier marseillais
Les façades extérieures reprennent les teintes claires du tissu environnant et se différencient entre-elles par leur type d’habitat et leur positionnement. Elles abritent derrière leurs deux, trois ou quatre étages, les 62 appartements du 2 au 4 pièces en duplex et les trois maisons individuelles de la résidence. Les façades s’inspirant du proche environnement et de la tradition marseillaise, se déclinent dans la couleur blanche tantôt lisse dans les étages ou matricé dans les rez-de-chaussée. Les fenêtres, qu’elles soient en simple ou double hauteur pour les duplex sont de vrais appels à la lumière. Elles sont aussi de véritables éléments de composition avec leurs garde-corps vitrés, leurs volets de bois aux aspects naturels repris soit en volets battants soit en coulissants. Les garde-corps en serrurerie ajourés se tournent vers les jardins pour former en étages, des pergolas discrètes en protection du soleil. Autour des balcons, des claustras forment des brise-vues nécessaires à l’intimité des logements. Des jardins d’agrément occupent la partie centrale de la résidence. Leurs essences méditerranéennes se répartissent sur des petites prairies résistantes arrosées automatiquement. Les loggias et terrasses orchestrées par une architecture rythmée se comparent à des loges de théâtre plongeant sur cette scène centrale végétalisée. Les aires de stationnement en sous-sols accessibles par la rue F. Morucci. sont en connexion avec chacun des cinq petits immeubles de la résidence.
